Selon une vaste méta-analyse de la littérature scientifique disponible – plus de 800 articles parus dans des revues à comité de lecture – réalisée par une équipe internationale, ces insecticides seraient responsables, au moins en partie, d’un effondrement des populations d’insectes, nuisibles ou non pour l’agriculture, mais aussi, directement et indirectement, d’invertébrés aquatiques et du sol (lombrics…), et des oiseaux communs. Autrement dit, le très populaire effondrement des colonies d’abeilles domestiques ne serait qu’un exemple, plus visible, d’un massacre général.
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